Tels des anciens, des sages, ils veillent. Ils gardent les secrets oubliés, les espoirs perdus, les promesses que l’on ne prononce plus. Le regard devient alors phare dans la nuit, une lumière fragile mais déterminée, qui guide l’âme vers l’aube d’un nouveau jour.
Mais le regard est aussi une force. Ce pouvoir poétique du regard, sa capacité à transformer le monde, à donner forme au rêve, à capter l’invisible qui est au cœur de cette œuvre.